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Assurances « risque pur » (capital décès)

C’est la plus simple des assurances vie car la réalisation du risque n’est pas malheureusement contestable…

Il existe toutefois plusieurs causes de décès qui peuvent ou non être assurée :

  • décès par accident
  • décès par maladie
  • suicide (en général couvert après 3 ans de contrat)

Cette assurance peut être conclue sous deux régimes fiscaux différents (3A ou 3B)

Calcul des primes

Les primes sont calculées en fonction de l’âge, du sexe, de la profession, de l’état de santé, du bmi (indice corporel à calculer ici), de la profession et des autres activités à risque.

Le contrat peut prévoir une prime :

  • fixe (ou contractuelle) – établi sur la moyenne d’âge durant le contrat
  • variable (à prime naturelle) – recalculée chaque année selon son âge réel

Il existe plusieurs sous-catégories de l’assurance décès ou risque pur :

Capital constant

La somme d’assurance ne varie pas durant toute la durée du contrat.

Elle sert à couvrir un besoin qui ne change pas et qui n’est pas liée à un emprunt remboursable.

Capital décroissant

La somme assurée décroit chaque année d’une part (divisée par le nombre d’année contrat).

Cette prestation est  souvent associée à un emprunt bancaire (le besoin décroit en même temps que l’on rembourse) ou à une épargne. Dans ce cas on parle d’assurance mixte (décès + épargne).

Combinaison hybrides

Il est bien sûr possible de combiner toutes les catégories et sous-catégories d’assurance vie en un seul contrat.

Voici le graphique d’une risque pur décroissante + constante incluses dans un même contrat.

Rentes en cas de décès

En lieu et place du paiement d’un capital, certains préférerons laisser une rente périodique afin que le bénéficiaire n’ait pas à gérer une somme trop importante.

Si ceci est impossible en cas de succession (on ne peut pas faire de testament qui impose une utilisation des biens après sa mort), c’est réalisable avec cette forme d’assurance.

Je désirai laisser le revenu d’un immeuble à mon fils sans qu’il puisse le vendre, j’ai donc hypothéqué ce dernier et souscrit une assurance de rentes en conséquence. Paul, Lausanne.

Assurance à vie entière

L’assurance décès possède une durée contractuelle après laquelle elle s’éteint (entre 65 et 80 ans selon les compagnies), contrairement à l’assurance a vie entière qui elle ne s’arrête jamais.

Cela implique que le paiement de la prime ne s’arrête pas non plus jusqu’au moment du décès, c’est la seule assurance où la notion de risque est absente car on sait tous qu’un jour cela finira bien par arriver…

L’assurance a vie entière, très méconnue, offre pourtant d’énormes possibilités dans le cadre de la succession car elle n’est pas soumise au même régime fiscal.

Cette assurance peut être payée par des versements périodiques ou en prime unique.

L’aide du courtier

La risque pur est dite « à fonds perdus » car elle ne rembourse généralement rien à la fin du contrat. Pour cette raison vous pouvez généralement la résilier ou changer d’assureur en cours de contrat (contrairement à l’assurance de capital qu’il ne faut en général jamais résilier avant son terme).

Chaque compagnie a des particularités et des tarifs différents pour chaque modèle de client (fumeur ou non, excédents, restitution en cas de résiliation, etc…), seul un courtier professionnel saura vous conseiller en ce sens.

N’hésitez donc pas à nous contacter pour toute information ou offre comparative, une équipe sympathique est là pour vous assister gratuitement.

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